Notre histoire


La maison de vente aux enchères IEGOR - Hôtel des Encans fut fondée à Montréal en 1983 par Iegor et Martine De Saint Hippolyte. Elle s’est rapidement positionnée parmi les leaders en Amérique du Nord dans les enchères internationales. Au fil des ans, plusieurs départements ont été développés notamment l’art canadien et international, les arts décoratifs, les bijoux, les collections, les livres rares et l’art asiatique etc. IEGOR a incontestablement contribué au développement du marché de l’art et a su transmettre la passion de l’art et de la collection au long de ses 25 années d’activités.
 

Pour l’amour de l’art


Emporté par sa passion pour l’art, Iegor De Saint Hippolyte a organisé des ventes à Paris puis, suite à une demande du Prince, à Monaco. L’expansion se poursuit sous l’effigie de IEGOR - Hôtel des Encans, par des ventes prestigieuses à Montréal, New York et Palm Beach. Des œuvres des plus grands artistes de l’histoire de l’art lui sont confiées de par le monde et atteignent des prix records.

En 2004, au terme d’une vente d’œuvres d’art et d’antiquités tenue à l’Hôtel Ritz-Carlton à Montréal, DROUOT, association de Commissaires-Priseurs reconnue mondialement, remarque le potentiel du marché nord-américain. Elle mandate alors IEGOR comme représentant officiel. Des journées d’estimations gratuites sont régulièrement organisées en collaboration avec DROUOT afin de dénicher les trésors de l’art. 

IEGOR est aujourd’hui une entreprise Internationale qui offre des lots exceptionnels, propose une série complète de services et collabore avec les meilleurs spécialistes et experts à travers le monde. 

Fascinés par la richesse du patrimoine architectural montréalais, Iegor et Martine de St Hippolyte décident en 2004 d’installer leurs bureaux et leur salle de ventes dans une prestigieuse église de style Néo-classique dans le quartier culturel. Précurseurs par leur initiative, ils furent récompensés en 2006 par le Prix Orange décerné par Héritage Montréal et, en 2007, le Prix spécial du Patrimoine de la Ville de Montréal.



 « Ma volonté est que mes dessins, mes estampes, mes bibelots, mes livres enfin les choses d'art qui ont fait le bonheur de ma vie, n'aient pas la froide tombe d'un musée, et le regard bête du passant indifférent, et je demande qu'elles soient toutes éparpillées sous les coups de marteaux du commissaire-priseur et que la jouissance que m'a procurée l'acquisition de chacune d'elles, soit redonnée, pour chacune d'elles, à un héritier de mes goûts. »
EDMOND DE GONCOURT

 


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